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» Bayrou Section nantaise

Retrouvez ici l’intégralité de l’émission « Parole de candidat » dont F Bayrou était l’invité :

http://www.dailymotion.com/video/xowgsz

 

Invitation – Rencontre avec François Bayrou
Jeudi 1er mars à Angers

Chers amis,

François Bayrou tiendra sa prochaine rencontre à Angers, le jeudi 1er mars, à partir de 18h30 :

Centre des Congrès
Auditorium
33 boulevard Carnot
49100 Angers

Des cars seront affrétés au départ de Nantes par le MoDem44. Nous publierons les infos sur ce site dès que nous les aurons.

Contact Sylvie Tassin. 06 87 19 80 09

 

 

 

François Bayrou a dévoilé ses trente orientations précises pour que la France entre, en cinq ans, dans les dix premières nations du monde pour la qualité, la réputation et l’efficacité de son système éducatif.

(Seul le prononcé fait foi)

1- Il faut un contrat de progrès entre l’école et la nation. Ce contrat doit garantir les moyens existants, et préciser les objectifs que la nation assigne à l’école. Le progrès que nous nous assignons, il doit être vérifiable. C’est pourquoi je fixe un objectif : que dans les cinq ans, l’école française entre dans les dix premiers du classement international pour la compréhension de l’écrit, le calcul, les connaissances scientifiques, et la lutte contre les disparités sociales.

2- Au lieu d’être dans la « réformite », il faut un plan de progrès continu, inscrit dans le long terme. Pour vraiment changer les choses, il faut cesser d’aller en fausses « réformes » en fausses « réformes », qui ne changent rien sur le fond, mais déstabilisent perpétuellement l’éducation nationale et le moral, la confiance professionnelle des enseignants et des parents. C’est de la fausse monnaie.

3- Refaire de l’école un lieu d’où la violence est exclue et où le respect est la règle.

4- Il faut restaurer la confiance de la nation dans ses enseignants. Je ne suis pas pour qu’on remette en cause le décret des années 50 qui définit le statut des enseignants. La définition du temps de travail est légitime. Il peut être réaménagé sur la base du volontariat, on peut faciliter si on le souhaite une présence plus longue dans l’établissement, par exemple en construisant des bureaux, mais les procès doivent cesser.

5- Les concours de recrutement nationaux sont la voie la plus républicaine et la plus légitime pour sélectionner les enseignants du second degré. Ils sont anonymes, ils sont justes, ils permettent de juger de la qualité d’une génération de candidats. Ils font partie de la fierté des corps d’enseignants en leur garantissant une légitimité.

6- La reconstruction d’une année de formation, en alternance avec l’exercice dans la classe, est impérative et étroitement liée au contrat de progrès de l’éducation nationale. Il s’agit du moyen de familiariser les enseignants recrutés et débutants avec l’expérience de leurs collègues plus expérimentés et assurés. Il s’agit d’armer les jeunes enseignants et de leur faire gagner des années d’expérience.

7- La notation pédagogique des enseignants doit être assurée par des évaluateurs (corps d’inspection ou autres) expérimentés, de la même qualification au moins, de la même discipline et non par le chef d’établissement étranger à la discipline enseignée. Au demeurant, il n’y a rien à changer. Le chef d’établissement évalue déjà les capacités et les qualités des enseignants, individuellement, et son évaluation représente 40% de la note attribuée. J’ajoute que plus on trouvera d’éléments objectifs pour assurer l’évaluation, et plus j’approuverai.

8- Arrêter avec les surcharges administratives, la multiplication de réunions, l’avalanche des livrets de compétences. À l’école, comme dans tous les autres secteurs d’activité, la surcharge paperassière étouffe, asphyxie, et ne sert à rien. Idem avec les circulaires de toute nature!

9- D’abord les bases et les bases d’abord ! Il n’est aucune chance de réussite pour un élève qui n’a pas la maîtrise des fondamentaux. Je proposerai que tant que cela est nécessaire 50 % du temps scolaire à l’école primaire soit consacré à la maîtrise de l’écrit, comme on dit actif et passif, et à la langue française, en sa beauté à découvrir, à ce qu’elle peut exprimer de nuances, de richesses, en son vocabulaire. C’est un bagage pour la vie.

10- Les principales difficultés des élèves très jeunes sont psychoaffectives. Elles ne sont pas, la plupart du temps, d’ordre pédagogique ou de l’ordre des « capacités » comme on dit. Les repérer tôt, par une formation et un réseau adapté, c’est donner une chance de les résoudre, soit au sein de l’école, soit plus souvent encore auprès des pédopsychiatres.

11- Le premier lieu de l’éducation, c’est la famille. Favoriser la mise en place « d’écoles de parents » associatives pour aider ceux qui ont des difficultés à accompagner leurs enfants.

12- La question des méthodes pédagogiques doit être tranchée non pas par l’idéologie, mais par l’évaluation des résultats. Ne croyez pas que comme tous les parents et tous les enseignants, je n’ai pas une opinion que je crois solide et nourrie par l’expérience. Par exemple, je pense que la question des méthodes de lecture devrait être tranchée depuis longtemps : en effet le clavier, avec lequel désormais toute personne vit, le clavier ce n’est pas global, c’est lettre par lettre. Et donc du son à la lettre, de la lettre à la syllabe, de la syllabe au mot, cela me paraît devoir être la démarche désormais indiscutable. C’est une opinion personnelle, je la trouve pertinente. Mais ce n’est ni au gouvernement ni au président de la République de trancher des méthodes d’apprentissage. C’est à la classe, aux résultats effectifs, à condition qu’aucune méthode ne se voie exclue pour raisons idéologiques.

13- Aucun élève ne doit entrer au collège sans qu’il soit garanti qu’il maîtrise la lecture et l’écriture. S’il est en défaut, une pédagogie adaptée doit lui permettre de reconstruire son rapport à l’écrit. Le but n’est pas d’exclure, mais d’intégrer les élèves qui, autrement, seront perdus dans leur scolarité.

14- Pour prévenir ces échecs, il faut penser le nombre d’élèves par classe en fonction de la réalité de la classe. À classe difficile, petit nombre d’élèves, à classe équilibrée et de bon niveau, plus grand nombre d’élèves.

15- Le collège doit être diversifié. Il est normal et juste que la nation veuille garantir un bagage à tous les enfants. Mais ce bagage de connaissances et de méthode ne peut être apporté dans l’uniformité. Pour un certain nombre d’élèves, en situation de rejet de l’école, un « collège hors les murs », avec des pédagogies adaptées, doit permettre une reconstruction et le retour, s’ils le souhaitent, à la voie classique.

16- Dans chaque discipline, le « apprendre à apprendre » et le retour assidu aux bases doivent servir de socle. Les programmes doivent être écrits avec les enseignants en imposant la faisabilité sans précipitation, et la simplicité. Je propose qu’un débat parlementaire permette d’exposer à la nation le principe des programmes et leur lisibilité. 17- Informer les élèves sur ce qu’ils ne maîtrisent pas : les codes de comportement, d’habillement, de langage, les chemins de la confiance en soi.

18- Les rythmes scolaires doivent être reconstruits. Il n’est pas normal que l’école française soit celle qui concentre le plus d’heures sur le moins de jours de classe. Les horaires des élèves, devoirs compris, ne doivent pas dépasser une charge horaire d’une trentaine d’heures par semaine, ce qui veut dire un allègement des horaires pour un grand nombre d’élèves. Les heures ainsi gagnées seront utiles aux enseignants pour le travail en commun, aux établissements pour des programmes au choix.

19- Les devoirs doivent être faits dans le cadre de l’établissement, sous la surveillance de tuteurs, les enseignants de l’établissement s’ils le souhaitent, des enseignants à la retraite, des étudiants qui recevront une bourse pour se familiariser ainsi avec l’enseignement et servir de « grands frères », de tuteurs et d’appui aux élèves plus jeunes. Ces bourses de tutorat doivent être offertes à coût réduit, aisément accessibles. Elles pourront être offertes, en complément de leur retraite, à des enseignants qui voudront encore servir. Elles accroîtront la présence des adultes dans les établissements.

20- Donner aux chefs d’établissement des possibilités nouvelles : recrutement direct des remplaçants, gestion d’un volume d’heures pour organiser des soutiens individualisés ou en petit groupe.

21- L’enseignement professionnel doit reposer non pas sur l’élimination mais sur la vocation, par la découverte des métiers, par l’alternance ou l’apprentissage.

22- Information sur les métiers tout au long du collège, découverte des entreprises et des chantiers, pour que les élèves découvrent ce que sont ces activités qu’ils n’ont jamais rencontrées. C’était déjà l’idée du stage en 3e que nous avons créé en 1995.

23- Un plan de développement de l’apprentissage et de l’alternance. Question: qu’est-ce qui bloque? Pour les entreprises, du côté de l’éducation, destination de la taxe d’apprentissage.

24- Contre la double pénurie de scientifiques et de littéraires, réfléchir à l’organisation des baccalauréats, notamment la réflexion sur un baccalauréat d’excellence générale, à la fois littéraire et scientifique.

25- Refonder l’articulation entre enseignement secondaire et enseignement supérieur, c’est une clé pour lutter contre l’échec des premiers cycles à l’université. L’université, c’est la connaissance que l’on se construit autant qu’on la reçoit, c’est la recherche, dès les premières années, c’est un exercice d’autonomie. Il faut former à cette autonomie en terminale, refondée en une véritable « propédeutique ».

26- L’orientation, c’est une ardente obligation. On doit y préparer tout au long de l’enseignement secondaire et d’abord à l’entrée de l’université, par une information objective sur les sorties d’étude dans la formation considérée.

27- Assurer la scolarisation des enfants en situation de handicap. Des progrès ont été faits. Mais des obstacles demeurent. Beaucoup d’enseignants se sentent démunis. Cette question sera abordée dans le cadre d’une conférence nationale sur le handicap.

28- Plan santé, addictions, cannabis, alcool, mobilisation des étudiants en médecine dans tous les établissements scolaires de l’enseignement secondaire.

29- Réflexion générale sur l’éducation numérique. Très importante pour l’avenir. Il n’y a pas d’éducation entièrement dématérialisée, et déshumanisée, mais les ressources du e-learning sont pour l’avenir un immense enrichissement des possibilités de formation et de découverte.

30- Ouvrir les établissements en dehors des heures de cours à la demande d’éducation de la société. Une « école du soir », à la demande, avec une contribution modeste des apprenants, doit être ouverte dans tous les établissements du second degré. L’initiative viendra de la demande de ceux qui veulent apprendre.

Pour voir la vidéo de l’intégralité du discours : http://www.dailymotion.com/video/xocfzm

 

 

Tour de table : 30 personnes, dont beaucoup de nouveaux et de jeunes.

Certains viennent  car la « densité » de François Bayrou offre un contraste motivant face à l’indigence du paysage politique actuel, et d’autres se disent attirés et convaincus  par l’attitude « proposante » de nos élus municipaux.

  • Débat de politique générale : la  position de François Bayrou dans le paysage politique pré-présidentiel, et son évolution.
    • Réactions au début de la campagne électorale : F. Bayrou n’a pas intérêt à se découvrir trop vite (risque de récupération des idées, vote pour une personne au moins autant que pour un programme).
    • Il est important que, prochainement, des personnes de gauche nous rejoignent pour incarner le rassemblement, la 3ème voie.
    • Certains intervenants trouvent aussi que nous manquons encore de personnalités  perçues comme « ministrables » par les électeurs.
  • L’organisation de la campagne  sur le terrain
  •  Les Jeunes démocrates organisent un collage d’affiches hebdomadaire. Le 1er rendez-vous est fixé au 24 janvier. Si vous acceptez de participer, merci de bien vouloir contacter le président des JD (Florent-Lucas@LaPoste.net).
  • La section nantaise commencera les distributions de tracts après les vacances de février. Vous pouvez dès à présent vous inscrire auprès de Sylvie Tassin, présidente (stassinsimon@orange.fr) en précisant vos disponibilités (jour, heure, zone géographique…). Vous serez avertis des actions par mail , et via le blog de la section. http://modemnantes.lesdemocrates.fr/

 

  • Nous avons débattu de l’opportunité de tenir une permanence  physique régulière pendant la campagne électorale.  Elle sera organisée si le nombre de volontaires est suffisant.
  •  Un  communiqué de presse annonçant la création du comité de soutien Bayrou 2012 a été envoyé aux adhérents.
  • Une conférence de presse à ce sujet est organisée le 19 janvier. La question des élections législatives sera aussi évoquée.
  • Les candidatures aux élections législatives

 

  • Jérome Fouqué, délégué départemental, a annoncé les candidatures éventuelles aux élections législatives pour les 5 circonscriptions nantaises.
  • L’actualité locale.
  •  Le  Nouvel observateur organise à Nantes (Cité des congrès et Lieu unique), du 19 au 21 janvier,  des journées « Demain la France ». 24 tables rondes réuniront  de très nombreuses personnalités d’envergure nationale (dont Jean-Luc Bennahmias  sur le sujet : Le football vit-il au-dessus de ses moyens ?). L’entrée est gratuite, mais il faut s’inscrire préalablement : http://tempsreel.nouvelobs.com/journees-nantes

La réunion s’est terminée de manière conviviale autour de la galette des rois.

Pour la section,

Jérôme Fouqué,

Membre de bureau de la section nantaise,

Secrétaire départemental.

 

 

Le mot d’accueil de l’Université 2011 :

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L’intégralité du discours de clôture :

http://www.dailymotion.com/video/xl5tfa

 

 

 

Chers amis,

L’Université de rentrée approche.  Comme vous le savez, elle aura lieu du vendredi 16 au dimanche 18 septembre sur la presqu’île de Giens, dans le Var.

Cette manifestation prendra cette année une tonalité toute particulière.

Quelques jours après la sortie de son livre « 2012, état d’urgence », François Bayrou prononcera un important discours dimanche 18 septembre à 11 heures.

Dès vendredi, à partir de 15 heures, nous aurons le plaisir d’accueillir, autour des vice-présidents et des élus du Mouvement démocrate, un plateau exceptionnel de personnalités qui ont accepté de nous rejoindre pour cet évènement de rentrée :

Compte tenu du nombre d’hébergements limité sur le site de Giens, nous vous invitons à vous inscrire au plus vite à cette Université de rentrée en cliquant ici. Il reste encore quelques places disponibles sur le site !

Toute notre équipe reste à votre entière disposition.

Très amicalement,

L’équipe d’organisation de l’Université de rentrée

Quelques extraits choisis :

« Les mauvais jours finiront. La France va s’en sortir. Un jour, dans 5 ans, dans 10 ans, notre crise d’aujourd’hui ne sera plus qu’un mauvais souvenir. C’est cet espoir, ou plutôt cette certitude, qui est le sujet de ce livre. »

 

« C’est une guerre que nous avons à livrer, plus de l’ordre de l’asphyxie progressive que du bombardement…Pour gagner une guerre, il faut se concentrer sur l’essentiel. »

 

« C’est le chantier politique le plus impressionnant du siècle. Il ne se résoudra pas par un énième changement de majorité, de président, ni par le passage programmé, obligatoire, de la droite à la gauche… Il faut une majorité du courage, non d’un bord contre l’autre mais une majorité centrale…Ce sont des temps où le courage n’est pas un luxe. Il devient une nécessité. La France dévale un toboggan auquel son modèle de société ne résistera pas. Ni ses allocations, ni nos services publics, ni notre système de santé, ni nos investissements locaux et nationaux. »

 

Toujours en tête des ventes de livres politiques quinze jours après sa sortie, « 2012, état d’urgence » fait l’objet de nombreuses chroniques de journalistes.

Leur point commun ? Elles saluent unanimement la qualité de cet ouvrage, tant sur la forme que sur le fond. Le Monde, Marianne, Les Échos, Libération… découvrez ci-dessous un éventail de ces critiques !

« Précisons le d’emblée, pour ne plus avoir à y revenir : le nouveau livre de François Bayrou– 2012, état d’urgence – est remarquable. Pour deux raisons au moins : d’abord le chef centriste écrit lui-même, dans une fort belle langue, ce qui ne gâche rien et n’est pas banal parmi les responsables politiques ; cela ne serait qu’anecdotique si, ensuite, l’auteur ne nous offrait en quelque 150 pages une analyse pertinente de cette langueur qui accable la France et d’intéressantes solutions pour y remédier. Enfin un homme politique qui accepte de faire son métier, de prendre des risques, de sortir des sentiers balisés et des convenances, de réfléchir, d’ouvrir d’autres pistes. »
Maurice Szafran, Marianne

« Au milieu de la floraison estivale d’ouvrages politiques, il présente une double originalité : il est pratiquement le seul à être vraiment l’auteur du livre qu’il signe ; et on y décèle une nette inflexion politique. Son précédent ouvrage (Abus de pouvoir, 2009) constituait un réquisitoire féroce, talentueux, caricatural contre Nicolas Sarkozy présenté en «enfant sauvage ». Ce livre-ci, toujours bien écrit, toujours personnel, toujours plein de verve, rétablit la balance. François Bayrou critique vigoureusement Nicolas Sarkozy, dont il ne partage ni les valeurs, ni les méthodes, ni les choix stratégiques mais il le fait de façon nettement plus tempérée et rationnelle : méthodique plutôt que compulsif. De plus, il décoche vers le PS une généreuse volée de flèches. Après lecture, le projet socialiste ne compte plus ses plaies et ses bosses. Contrairement à la boutade Mitterrandienne, dans ce livre, François Bayrou n’apparaît ni de gauche, ni de droite, mais lui-même avec ses priorités et ses propositions. »
Alain Duhamel, Libération

« Campagne 2012 : Bayrou relève le niveau. ‘Produire et Instruire’ : c’est le nouveau slogan de François Bayrou. Un slogan concret qui, pour une fois, ne semble pas sortir tout droit d’un brainstorming de communicants payés pour vendre du rêve. »
Chloé Demoulin, Marianne2

« Le présent lui donne raison… La crise actuelle vient à point nommé pour permettre au centriste de faire à nouveau valoir cette crédibilité qui l’avait consacré ‘troisième homme’ de la dernière présidentielle. L’inquiétude conjoncturelle vient donc confirmer son diagnostic sévère sur l’état du pays. »
Caroline Derrien, Les Echos

« François Bayrou sonne le tocsin. Non pas pour jouer les Cassandre, promettre du sang et des larmes comme Churchill en mai 1940, mais pour dire que des solutions existent pour sortir la France de la spirale du déclin. »
Christophe Forcari, Libération

« Il y développe une vision de la France, une conviction et des certitudes qui, sauf à déserter, lui imposent de s’engager, une nouvelle fois, dans la bataille présidentielle. Car l’heure est grave, la patrie en danger et François Bayrou n’a pas peur des mots.‘C’est une guerre que nous avons à livrer’, écrit-il, ‘une guerre contre nos propres faiblesses’… Telle est la conviction exprimée, sans fausse modestie, par ce livre imprécateur et vigoureux… »
Gérard Courtois, Le Monde

« Il y a quelques semaines, ce diagnostic serait apparu exagérément sombre. Aujourd’hui, il sonne juste. » Hervé Algalarrondo, Le Nouvel Observateur

Bayrou: « Il faut un choc »

 

L’interview de François Bayrou sur BFM :

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L’interview de François Bayrou sur France inter :

http://www.dailymotion.com/video/xkm301

 

François Bayrou au cours de cet entretien sur la chaine Public Sénat a réaffirmé le positionnement du Mouvement Démocrate : « To be or not to be » indépendant par rapport au pouvoir en place. La vocation de notre mouvement est bien de dépasser le clivage gauche-droite habituel pour construire une alternative crédible et avoir une vraie ambition réformatrice, soucieuse du sens de la justice.

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